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Interview-exclusive / Kouamé Konan N’Sikan parle pour la première fois : «Comment j’ai créé UTB » - «Mes rapports avec Ouattara, Bédié et Gbagbo»
Source: Trait d'Union | Publié le 19.03.2012
Son histoire personnelle est d’une sagacité excitante au vu de ce qu’il est devenu aujourd’hui et de ce qu’il représente en Côte d’Ivoire dans le domaine des affaires. PDG de la plus grande compagnie de transport de masses en Côte d’Ivoire, Kouamé Konan N’Sikan est d’une nature casanière qui tranche avec le ‘’bling bling’’ de certains parvenus qui gouttent aux délices de l’argent. C’est donc un homme lucide, affable et droit dans ses bottes qui a répondu à toutes nos préoccupationsle 13 février 2012 dans son village. Exclusivité Trait d’Union … Légende vivante, vous suscitez tant de commentaires en Côte d’Ivoire depuis plusieurs années. Pourquoi ? Votre question est d’autant pertinente que je suis obligé d’y répondre pour la première fois, puisque moi aussi j’entends tout ce qui se dit sur moi. Je me gardais de parler de moi mais comme vous avez insisté jusqu’à venir me trouver dans mon village, je vais me dévoiler alors. Je suis Kouamé Konan N’SIKAN, fils d’un paysan qui était de père Baoulé et de mère Tagbanan. Je n’ai pas eu la chance d’aller à l’école donc j’aidais mon père à faire des buttes d’ignames au champ. Quand j’ai eu 15 ans, j’ai commencé à faire les buttes moi-même. Avec les tracasseries des travaux forcés, je suis allé chez les parents maternels de mon père à Katiola. C’est là bas que j’ai commencé à cultiver le riz que je vendais à Botro. Je peux vous avouer que c’est ainsi que je me suis lancé dans le commerce. Je mettais de gros sacs de riz sur ma tête que j’allais vendre. Au retour, j’achetais des poussins et autres coquelets que j’élevais. Pour un début, c’en est un… Effectivement, mon histoire étonne tout le monde mais c’est ainsi que j’ai débuté. Je vais vous épargner certains détails sinon on ne s’en sortira pas de si tôt. Quand mes poulets devenaient grands, je les vendais. Je prenais une partie de cet argent pour acheter les petits piments rouges que les Baoulé appellent ‘’Kpèssè Kpèssè’’. Ensuite je les revendais puisqu’ils étaient prisés. Mais mon histoire va s’accélérer grâce à mon grand frère Kouamé N’Zué Jérôme. Dès qu’il a commencé à travailler, il m’a acheté une caisse dans laquelle je vendais des cigarettes. A l’époque c’était les marques ‘’LIBERIA ‘’, ‘’ JOB’’ etc. C’est lui qui m’a vraiment lancé dans mes activités qui allaient faire de moi ce que vous savez aujourd’hui. Je vous raconte une anecdote, tellement mon frère m’aimait, il m’a mis à l’école à la mission catholique de Bouaké alors que j’étais déjà vieux pour le CP2. J’ai pu apprendre à lire et écrire un peu, mais trois mois après j’ai été renvoyé pour une histoire de jugement supplétif. Je ne peux jamais oublier cela et ça m’a marqué. Oui mais tout ceci n’augurait en rien du destin qui est le votre ? Tout à fait ! Cependant, il faudrait savoir qu’après le tablier, mon frère m’a ouvert une boutique. Comme lui était un grand responsable à la CFAO à l’époque à Bouaké, j’allais prendre des marchandises et produits en gros avec lui et il me faisait des remises. Il m’a même dit une fois que j’étais intelligent en agissant ainsi. Et puis un jour, comme s’il savait que j’allais devenir un transporteur, il m’a inscrit dans un garage pour apprendre la mécanique. J’ai été donc apprenti-mécanicien de 1954 à 1957, et depuis j’arrive à détecter les pannes des véhicules rien qu’en écoutant les bruits qu’ils font. Malheureusement pour moi, mon frère n’a pas eu une longue vie. A sa mort en 1957, j’ai voulu continuer l’achat de produits que nous faisions ensemble. Quelle ne fut ma surprise lorsqu’allant retirer de l’argent pour une opération, je me fais entendre dire ceci par des blancs de l’époque : ‘’N’Sikan ne connait pas papier, on ne peut pas lui faire confiance pour l’achat des produits. Donc on ne lui donne pas l’argent’’. Très déçu, je suis rentré chez moi. Et puis un jour, arrive chez moi un certain Jean Abil Gal. Il m’a tendu la main et on n’a commencé à faire l’achat de produits ensemble. C’est lui qui m’a financé après que d’autres m’ont lâché. C’est donc lui le grand déclic après la mort de votre frère ? Sans aucune contestation. J’ai aimé Jean Abil Gal parce que c’est quelqu’un qui avait pris lui aussi la relève dans une affaire familiale. A la mort de son frère, c’est sur lui que leur empire s’est reposé et il a bien travaillé. Il a été mon exemple parce qu’il travaillait avec les membres de sa famille. Ensuite j’ai observé qu’il faisait tout pour que chaque membre de sa famille soit à l’aise. Aussi je me suis juré de suivre son exemple une fois que j’aurai eu les moyens. Même s’il m’a ‘’couillonné ‘’ pendant un bon moment, je vous dis que c’est avec lui que j’ai commencé à percer le milieu des affaires. Même le grand Djibo Sounkalo m’a interpellé à l’époque en me disant ‘’ mais toi N’Sikan tu es fort hein, comment tu fais pour avoir de l’argent en travaillant avec un Juif ‘’. Ça m’a beaucoup fait rire parce que moi je me contentais des 3 F de ristournes auxquelles Jean Abil Gal m’avait habitué pour l’achat des produits. Pour moi c’était trop bon, une affaire en or. C’est bien après que j’ai su que les ristournes étaient payées à 6 F. Jusque là on ne vous perçoit pas dans le monde du transport qui vous a révélé. Pouvez-vous nous dire exactement quand vous y êtes entré ? En fait j’y ai fait mes premiers pas dans les années 60. Lorsque j’ai pu avoir quelques moyens en 1965, j’ai acheté un grumier à plus de 7 Millions de FCFA mais cela à coups de privations. Ce grumier faisait le transport des grumes entre Duékoué et Abidjan. J’étais donc déjà millionnaire. A cette période, on me surnommait ‘’N’Sikan Détail’’ parce que je pouvais me priver de manger pendant longtemps pour économiser le moindre copeck. Ce grumier m’a beaucoup apporté par la suite et je le constate un peu plus quand je vois combien ça coûte de nos jours. Vous parlez de Jean Abil Gal mais selon certaines personnes de votre région c’est le président Houphouët-Boigny qui vous a fait … Ce sont des mensonges. Ce que Houphouët a fait pour d’autres personnes, il ne l’a pas fait pour nous les Baoulé. Donc qu’on arrête de raconter ces choses. Je me suis battu à la sueur de mon front pour créer mes entreprises. Tenez! lors du décès du président Houphouët, ces mêmes personnes ont raconté que les cars de UTB appartenaient au président Bédié. Un député de l’époque racontait cela aussi mais je l’ai rappelé à l’ordre en lui rappelant comment je me suis endetté pour monter ma société. A notre époque, il suffisait qu’un jeune Baoulé se batte pour créer quelque chose qu’on y voyait automatiquement la main d’Houphouët. Ce n’est pas exact. Dites-nous alors comment vous avez crée UTB, votre société de transport ? UTB a une histoire toute particulière. En fait, cette société est née d’une frustration dont j’ai été victime dans les années 1980. Un jour j’ai eu vent de ce que des amis et frères étaient en train de créer une société de transport. Je les ai approchés pour y participer. Ils ont refusé. Fâché et frustré je me suis dit que je devais créer la mienne. Sur les conseils avisés de feu mon petit frère Kouamé Agba, je me suis lancé dans cette activité périlleuse en 1984 avec trois cars. Auparavant j’avais acheté des minicars pour mes frères qui n’ont pu bien gérer. Les débuts ont été très difficiles puisqu’il fallait gagner la confiance des banques qui étaient un peu méfiantes. J’ai donc pris tout le dernier fonds qui me restait pour créer et soutenir cette société dans les débuts à Bouaké où j’ai crée la première gare UTB. Quand je fais un parallèle aujourd’hui, je trouve que je gagnais plus d’argent avant qu’aujourd’hui. Parce qu’avant avec le ticket Bouaké-Abidjan à 2500 FCFA, ça allait en plus du personnel réduit qui n’est pas celui de maintenant. Mais ça se comprend puisque les choses ont évolué et la société a grandi. Sinon nous gagnons mais les dépenses aussi sont élevées. Aujourd’hui à UTB, les salariés touchent aux alentours de 300 Mille fcfa. Donc ce n’est pas rien. De nombreux accidents de vos cars ont fait dire aux mauvaises langues que vous faisiez des sacrifices humains pour ‘’avoir l’argent’’. Que répondez-vous ? Vous savez les Ivoiriens sont ce qu’ils sont et ils sont nombreux qui ne peuvent s’empêcher de faire des commentaires désobligeants et parfois méchants sur les activités de ceux qui se battent pour créer des entreprises. Je me pose la question de savoir comment on peut prendre l’homme pour chercher de l’argent. C’est l’homme qui cherche l’argent. Tout cela relève des commérages et de la médisance. Ce qui se passait était tout à fait simple. Il s’agissait en fait d’une question d’imprudence des premiers chauffeurs qui ne savaient pas conduire. Ils étaient tous pressés et voulaient avaler les kilomètres, le plus vite possible. Il oubliait ma doctrine qui est qu’en allant lentement on arrive surement. Lorsque les accidents survenaient, j’étais toujours abattu et en larmes. Mes proches et amis pourront vous le confirmer. Aujourd’hui, nous avons une politique qui consiste à conseiller tous les chauffeurs sur leurs responsabilités, avant chaque départ. Et vous constatez vous-même que cette approche marche puisqu’il y a moins d’accidents aujourd’hui pour ne pas dire plus. Pourtant, il y a plus de cars et plus d’hommes en Côte d’Ivoire, si tant est que ce sont les sacrifices humains qui font fructifier l’argent. Et puis vers la fin, si des gens savent que pour avoir de l’argent, il faut agir ainsi, qu’est-ce qu’ils attendent pour le faire au lieu de passer leur vie à parler des autres. Vous voyez comment c’est ridicule et bas. Mais il faut comprendre mon fils que sur cette terre, la jalousie et la fainéantise amènent certains à devenir de gros serpents. Leur venin fait souvent très mal, mais il n’est pas mortel par la grâce de Dieu. Voilà comment des gens m’ont sali. Moi j’avance et c’est ça l’essentiel dans la vie. On ne peut pas parler avec vous sans évoquer la concurrence qui a eu lieu entre la société STIF et la votre, UTB… Pour des raisons qui me sont personnelles et que je vous demande d’accepter, je ne voudrais pas m’étendre sur cette question. On était effectivement des concurrents mais nous étions des amis. Je préfère en rester là et garder nos petits secrets de transporteurs. (Rires) De trois cars en 1984 à combien pouvez-vous évaluer votre parc auto à UTB aujourd’hui et comment va réellement votre entreprise ? J’ai plusieurs cars, c’est tout. Ce qui est certain, nous ne sommes plus à nos trois cars du début. Au niveau de la société, je peux vous dire que ça va un peu. Mais il y a eu trop de voleurs à UTB. Les gens viennent au travail pour se remplir les poches et faire leur vie. Les véhicules circulent mais on ne gagne rien. Si UTB était une société européenne, j’allais m’en sortir mieux et on allait créer d’autres sociétés. Hélas ! Depuis combien de temps avez-vous remarqué qu’on vous vole et qu’est-ce que vous faites pour traquer ces voleurs ? Depuis tout temps monsieur le journaliste. Tu mets des gens qui sont très proches de toi mais qui ne pensent qu’à se remplir les poches. Depuis un bon moment j’avais remarqué cela. Vous me demandez ce que je fais contre les voleurs. D’abord je n’aime pas les voleurs et maintenant quand tu me voles, je te traduis en justice. Que tu sois proche de moi ou pas, c’est devant les juges qu’on va s’expliquer. Je ne pardonne pas aux voleurs et il faut que cela serve de leçon à ceux qui se croient intouchables parce qu’ils sont mes proches. Si je ne fais pas ça, ils vont me ruiner et je ne serais plus ‘’ N’SIKAN ’’. J’emploie plus de 700 personnes et pour rien au monde je ne peux tolérer qu’un individu vienne faire écrouler toutes ces années de labeur. Si je tolère les voleurs, c’est au moins près de dix mille personnes de toutes les ethnies qui sont en danger. J’ai des chauffeurs Ivoiriens, Burkinabé, Maliens aussi. Sans compter mes neveux et cousins qui ne jurent que par moi. Mais maintenant, il y a une nouvelle gestion et on verra. Parlons un peu politique. Vous êtes un militant du PDCI, quelles sont vos relations avec le président Bédié ? Au plan politique je lui dois beaucoup. Parce que c’est grâce à lui que je suis devenu Député-maire. En 1995, alors que j’avais travaillé énormément dans ma région et que les populations voulaient me faire un triomphe en m’élisant comme maire, des gens ont manigancé un scénario bizarre en disant que moi N’Sikan j’avais été battu aux élections municipales par un pharmacien. Tout ça parce qu’ils disaient que je suis illettré. Je suis venu à Abidjan et j’ai informé le président Bédié sur cette affaire qui était incroyable parce que personne ne pouvait et ne peut me battre dans mon fief de Diabo. Personne n’a fait ce que j’ai fait dans ma région pour que quelqu’un vienne me battre. Donc la vérité des urnes a été rétablie. Aujourd’hui encore j’ai de bonnes relations avec le président Bédié qui est notre leader. Et avec le nouveau chef de l’Etat Alassane Ouattara ? Vous savez je suis un vieux de la vieille. Il y a longtemps quand même que je suis en Côte d’Ivoire. Je connais le président Alassane Ouattara depuis bien des années. En tout cas, je n’ai pas de problèmes depuis qu’il est là, comme je n’en n’avais pas avant. Vous aviez été décoré par Laurent Gbagbo du temps de son règne. Quels souvenirs gardez-vous de lui ? C’est quelqu’un qui me respectait beaucoup. Je le respectais aussi et ça ma beaucoup plu lorsqu’il m’a décoré. Mais comme il est d’un parti et moi d’un autre, je peux dire que nos relations s’arrêtaient juste là. Sinon c’est quelqu’un que je respectais en tant que président.

Interview réalisé à Konankro (Diabo) par Valery FOUNGBE

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